18/08/20 - Toxicomane de la force
"Ravioli, tu baises trop mal ! Pourquoi tu baises tellement mal ?" disais je.
Mes harceleurs, et Ravioli plus que n'impote qui, fument. Ravioli je l'ai vu fumer sa première cigarette.
Pendant mon viol téléphoné, mes harceleurs demandent à Ravioli de me gémir dessus sans cesse en réaction à tout et n'importe quoi. Alors ça m'intrigue. Pourquoi il gémit, sourdement ? Pourquoi cette simple réponse attendue par lui-même et crainte par tout le monde ?
Le lien entre sa débilité profonde et la cigarette ? Je comprenais qu'il inspirait la force (de l'intelligence), comme de la fumé, et qu'il la soufflait en gémissant. Il fume la personne qui s'éxprime (verbalement ou physiquement).
Ravioli comme le voisin de Guy II A, deux fumeurs, ont un délire de "félation" d'autruit.
Ils cherchent à connaitre tout de ma vie privée en l'inspirant, afin de l'éxpirer en gémissement pour l'un, en coup dans les murs pour l'autre.
Ce sont de bêtes machines à ventiler.
Des machines d'industrie, d'écoles, d'entreprises. Des fous, sans intelligence, à l'image de cette société mongolienne qui inspire des gens et les expires depuis leur rez-de-chaussée d'immeubles.
Le Tabac c'est tabou, on en viendra tous à bout ! C'est ça qu'on dit ? Ben Ravioli il a l'air de dire qu'il veut me fumer. Il est sur les nerfs. Tant qu'il en aura pas fini avec moi il me pompera.
Comment dialoguer avec une machine à pomper ? Comment lui éxpliquer que je veux vivre et que je ne suis pas du tabac ?
Adele Van Reeth, c'est l'idole des gens fumés ? Des pompés ? De ceux qui ne veulent plus se voir crucifié par des soufflets ?
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